Collection Jeune – Vieux. Le Chasseur De Gros Gibier (1/1)

COLLECTION JEUNE – VIEUX. Le chasseur de gros gibier (1/1)

- Bonjour madame, excusez de vous déranger, c’est pour un sondage sur les envies des personnes âgées, je peux prendre deux minutes de votre temps ?
Je viens de vous voir sortir de votre immeuble pour aller faire ses besoins à votre chien.
C’est quelle race ?
- C’est Bijou mon petit chihuahua.
- Il semble vieux.
- Il a dix ans jeune homme c’est une éternité pour un chien de cette race.
Allez Bijou fait tes besoins, il fait un froid de canard.
Inutile de risquer que tu atts la mort malgré ton petit manteau.
- Vous lui avez appris le caniveau, c’est très bien madame.
Pour mon sondage, il faut que je fasse un certain nombre de questionnaires à l’heure si je veux avoir assez d’argent pour mes études.
- Je vous propose quelque chose jeune homme.
Bijou a fini, nous le remontons, je vous offre un café ou un chocolat chaud que ma bonne nous préparera.
Je vous indemniserais pour le temps que nous passerons bien au chaud à remplir votre questionnaire.

Je m’appelle Chéryl, je sais c’est plus un nom de fille qu’un nom de garçon.
Je fais des études de droit afin de devenir avocat d’affaires.
Pour les payer, je dois travailler, ces sondages m’apportent le tiers de ce qu’il me faut pour subsister.
La femme qui vient de sortir de chez elle est ma cible pour gagner mon argent.
Le questionnaire leur est adapté !
Le plus dur, c’est de trouver des personnes de plus de 60 ans acceptant de perdre 5 minutes pour répondre à 20 questions.
Ces questions ont pour but de savoir le pourcentage d’ancien ayant prévu leurs obsèques.
Il fait très froid, je me laisse tenter par cette femme en manteau de fourrure qui reprend Bijou dans ses bras pour le mettre au chaud sur son cœur.

- Entre, nous montons au huitième, je possède un appartement avec balcon au dernier étage.



La cabine certainement construite depuis peu, elle sent le neuf est petite, je suis coincé, mon visage à quelques centimètres de Bijou horrible petit chien qui me regarde comme s’il allait me bouffer.

- Dis, es-tu bien pourvu ?
- Pardon !
- La nature t’a bien pourvu, je les aime grosses et bien dures.

Joignant le geste à la parole, elle me met sa main libre au paquet pour tâter la marchandise.

- Madame.
- Quoi madame, tu croyais que je voulais simplement t’offrir une tasse de café chaud ?
Tu te trompes, je suis seule avec ma bonne et j’aime les gentils garçons comme toi surtout s’ils sont bien virils.
Ça semble le cas.
Mais tu me trouves trop vieille ?
- Non madame, j’ai été surpris, c’est tout.

L’ascenseur s’arrête les portes de sécurité s’ouvrent.
Bijou et sa maîtresse descend me libérant.
Je la suis jusqu’à la seule porte qui s’ouvre sans qu’elle ne sonne.

- Entrez madame la baronne, vous allez attr la mort.
Donnez-moi Bijou je vais aller le mettre dans sa chambre, il a fait pipi ?
Oui, tout, nous sommes tranquilles jusqu’à demain.
Je vous amène votre chocolat très chaud.
Jeune homme enlever votre manteau vous allez attr la mort quand vous allez ressortir.

La bonne emmène Bijou, cette femme dans la quarantaine a fière allure pour une employée de maison.
C’est en parlant doucement pour éviter qu’elle entende que cette femme une baronne à ce que je comprends me dit.

- Denise est à mon service depuis 20 ans, elle en avait 20 quand avec mon mari nous l’avons embauché.
C’est une perle.

J’ôte mon manteau que je pose sur la chaise du vestibule.

- Aide-moi à enlever ma fourrure après nous irons au salon.
Denise nous apportera de quoi nous réchauffer.

Incroyable, cette femme de plus de 60 ans comme je l’ai dit ouvre cette magnifique fourrure qui doit coûter un prix fou dans cet appartement qui lui aussi sens le fric à plein nez.

Simplement la glace, le guéridon, le lustre et le tapis persan dans ce vestibule doivent valoir ce qu’il me faudrait pour finir mes trois années d’études.

- Je te plais malgré quelques rides qui commencent à déformer mon corps ?

Incroyable, car dessous elle ne porte qu’un soutient gorge pigeonnant rouge avec un slip et porte-jarretelles rouges tendant des bas rouges.
Elle ouvre une porte et passe devant moi.
La pièce où je me trouve est extraordinaire.
Je devrais dire le salon où je me trouve.
Des armes, des têtes de plein d’animaux africains et européen.
Il y a même un ours brun, certainement un grizzli.

- Mon mari nous a quittés il y a dix ans, il était chasseur de gros gibier, il chassait sur tous les continents.
Mais je ne t’ai pas fait monter pour te parler de lui paix à son âme.

Elle s’est assise sur le canapé, me prend la main et me tire à elle.
Sa main s’étant déjà posée sur mon sexe dans l’ascenseur ouvre le premier bouton de mon jean.
Un deuxième suit, je suis debout devant elle et dès qu’elle le peut, elle le tire vers le bas.
Mon slip a suivi. Ma verge commençant à bander, vue la situation, sort comme un diable de sa boîte.
Maman et papa m’ont bien pourvu, c’est ma force avec les copines de fac qui partage mon lit depuis que j’ai perdu mon pucelage dans le premier mois de mes études.
Se donnent-elles le mot sur la grosseur et la longueur de ma verge, je l’ignore et je me garde bien de chercher mais mes conquêtes sont nombreuses.
Là, c’est la première fois que ma bite entre dans la bouche d’une femme d’un certain âge voire d’un âge certain.
Sa main, sa bouche, elle aussi semble avoir des heures de vol du côté sexe.

- Madame la baronne, voici votre chocolat chaud.
Mais je vois qu’il va vous êtes difficile de le boire.
Mon Dieu, quel morceau !

La baronne se sépare de ma verge pour répondre à Denise.


- Venez, quand il y en a pour une surtout avec ce morceau, il y en a pour deux.

Incroyable, la baronne est prête à me partager avec sa bonne.
La situation me plait deux bouches, deux sexes, voire deux anus cela ne me fait pas peur.
Surtout que c’est la première fois que je suis en présence de deux femmes et des femmes d'âge mûr.
La bonne s’agenouille, prend ma verge et commence, elle aussi à me sucer.
La situation me plait, je me laisse faire.

- Denise, vous l’avez assez sucée, déshabillez-vous, il va vous baiser avant de me prendre.

La bonne se relève ouvre sa robe noire après avoir ôté son tablier de soubrette.
Elle est nue au-dessous, hormis des bas noirs tenus aux cuisses par de larges bandes élastiques.

- Allongez-vous Denise ce jeune homme va vous baiser comme la salope que vous êtes.

Où suis-je tombé.
Deux malades l’une lèvent des mecs, l’autre se fait baiser.
Pourquoi m’en priver, surtout que le sexe de la bonne épilé me fait vachement envie ?
Je l’ai dit, la baronne 60, la bonne vingt de moins.
Une poitrine qui attire mes lèvres.
Ce sont les plus gros seins que je n’ai jamais vus.
Je les prends en main, je prends la fraise droite dans ma bouche et je sens sa réaction.
Ma main gauche descend dans la fourche que j’écarte sans difficulté vue le mouvement de ses jambes s’ouvrant au maxi de ce que son compas lui permet.
Elle ruisselle aussi je me couche sur elle et c’est elle qui prenant ma verge se la met en elle.
À partir de là, je sais très bien comment la satisfaire, les jeunes femmes que j’ai baisées toutes ont pris leur pied avec ma verge.
Cette petite bonne ne déroge pas à la règle et rapidement se met à chanter, dès encore oui encore.

- Madame c’est bon ?
- Divin, mais laissez-moi, je vais jouir.

En pleine action tenant les jambes de la bonne, une fraction de seconde, j’ai une drôle d’impression mais ça passe tout à ma tache quand cette femme crie de plaisir ce qui déclenche son orgasme et mon éjaculation.

Merde, la baronne, je ne l’ai pas baisé.

- Madame, vous avez vu l’heure, votre mari doit rentrer du Kenya après sa partie de chasse.
Il verrait d'un mauvais œil que vous vous faites baiser pendant son absence.
- Tu as raison, vite files, prends tes affaires et descend par l’escalier, s’il te voit, tu risques d’être son prochain trophée accroché sur ce mur.
- Je croyais que vous étiez veuve.
- C’est plus compliqué, file.

Je me lève, la queue dégoulinante de mon sperme et des sécrétions de Denise la bonne.
Je descends un étage et je commence à remettre mes vêtements.
J’entends la porte de l’ascenseur s’ouvrir et démarrer montant vers moi.
Je suis de nouveau présentable, à un détail près, il me manque une chaussure.
Je suis au rez-de-chaussée je vois les boîtes aux lettres.

« Madame la baronne Denise de… »

Je comprends mon trouble la bonne et la baronne aurait-elle le même prénom, ce serait une drôle de coïncidence.
Je remonte par l’ascenseur, je vois qu’il était monté au sixième et non au huitième ce n’était pas le mari.
Je sonne.
On ouvre.
Mon doute était probant, c’est la femme de 60 ans qui m’ouvre ma chaussure à la main.

- Qui est-ce Denise ?

La femme qui sort du salon aux trophées, c’est la femme de 40 ans recouverte d’un peignoir de soie.

- Madame la baronne, je suis revenu chercher ma chaussure.
Mais c’est votre boîte aux lettres qui m’a mis la puce à l’oreille comment appelles-tu ?
- Martine.
- Moi c’est Chéryl.
Viens, je suis parti un peu vite, je pense qu’à regarder ta maîtresse se faire baiser par des hommes jeunes, malgré ton âge tu dois mouiller.
Vous avez vu quand il y en a pour une il y en a pour deux.

Je lui prends la main, elle lâche ma chaussure et nous rentrons dans le salon.
Ça fait deux ans que je poursuis mes études en vivant chez la baronne Denise de… et Martine sa bonne.
J’ai su le fin mot de l’histoire.
La baronne se faisait sauter par des garçons depuis son veuvage bien réel lui.
Ce matin-là, Martine était descendue à la boulangerie et m’avait vu faire remplir mes feuilles de sondage.
Remontant elle l’avait dit à sa patronne, qui regardant par son balcon lui a suggéré de m’attirer dans ses filets en descendant le chien.
Elle 60, j’avais des chances de lui demander de faire mon sondage.
Elles échangeaient souvent leurs vêtements et c’est ainsi que les deux m’ont sucé et c’est la baronne habillée en bonne que j’ai baisée.
Je m’excuse, je vous laisse, c’est dimanche et Martine près de moi dormant à poings fermés après ce que je lui aie mis une partie de la nuit, je vais rejoindre la femme qui m’entretient étant elle aussi accro de mon sexe.
Un seul souci, j’ai horreur de tous ces cadavres d'animal même empaillé surtout le grizzli qui semble vouloir me bouffer chaque fois que je le regarde.

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